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A0. Domaine De Beschard (clos Colbosc)
Au nord du bourg de St Romain, entre la rue Dubois et la rue du Bassin, existait un vaste domaine de 58 acres longtemps possédé par les De Beschard sieurs de Colbosc (qui ont sans doute laissé leur nom à ce quartier) composé de plus de vingt pièces de terre pas toujours faciles à situer de façon précise tant ce quartier s’est trouvé modifié au cours des deux derniers siècles : des nouveaux chemins ont été percés, d’autres ont disparu, la plupart ont changé de nom ... casse-tête pour les historiens ! Avant d’en entreprendre l’étude, quelques explications me semblent indispensables pour éclairer un peu le lecteur. Pour cela, écoutons ce que disait notre maire Pierre Romain Dubois à ses conseillers en 1820 : « ... Je me transporte avec vous sur la petite place qui se trouve au nord ouest de l’église de ce lieu. Du milieu de cette petite place, vous remarquerez trois chemins. Le premier se dirige vers le levant : c’est le chemin tendant de Saint-Romain à Lillebonne par les marrelettes ... (c’est la rue Georges Grimm) Le second se dirige vers le midy ...(c’est la rue Sylvestre Duménil qui ne concerne pas notre domaine) Le troisième enfin se dirige vers le nord ouest... (« chemin de St Romain à Montivilliers », maintenant rue Dubois) Jusque là, pas de problème. Mais ça va se compliquer. « Au nord du premier et du troisième des dits chemins se trouve une pièce de terre connue sous le nom de clos colbosc appartenante aujourd’huy aux représentans du Sr Hanin qui, vers l’année 1781, a fait ouvrir à travers cette pièce de terre une grande rue à laquelle il a donné le nom de rue royale...(c’est la portion de la rue de la République entre les rues de l’acqueduc et Abbé Bauche)
Le troisième des chemins passe à
l’ouest du clos colbosc entre ce terrain et la propriété appartenant aujourd’huy
au Sieur Dubois
(et qui restera le siège du notariat jusqu’à Maître Chatellin)
sur une longueur
de cent mètres environ. Là,
(nous sommes alors devant la grille de ce qui fut l’école
maternelle) il se
divise en deux branches dont une se dirige vers le nord ouest et tend à
Montivilliers en passant par la mare du Frescot...
... Ce chemin se divise en deux
nouvelles branches dont une se dirige vers le nord sur Etretat
La rue de Dr Fidel n’existait pas
encore. Une sente partait de la mare et se dirigeait vers le nord est
Le domaine du Clos Colbosc était dans la mouvance du Comté de Tancarville. C’était une vavassorie nommée « la vavassorie Colin de Gromesnil ». A ne pas confondre avec la « vavassorie Robin de Gromesnil » plus tard nommée Vavassorie Febvretot située au quartier d’Amontot (Voir « Ferme Legoy ») La Vavassorie Colin de Gromesnil est avouée le 27 juin 1525 par Nicolas Binet [1] puis le 10 décembre 1551 par Nicolas Binet le jeune [2] . Elle contient alors 58 acres 1 vergée (soit un peu plus de 33 hectares) en 21 pièces. Le même ténement est avoué le 4 juillet 1579 [3] par « Martin de Beschard écuier ayant épousé demoiselle Jeanne Leblond fille de Noël Leblond et de Romaine Binet ses père et mère et ladite Romaine fille et héritière de Nicolas Binet et ledit Nicolas Binet fils et héritier de Nicolas Binet »
Généalogie Binet 1. Nicolas (aveu en 1525) 11. Nicolas (aveu de 1551) 111. Romaine x Noël Leblond 1111. Jeanne Leblond x Martin de Beschard (aveu en 1579)
L’aveu de 1579 est fier d’annoncer la présence d’un colombier, privilège réservé aux nobles.
ADSM ; 1 ER 129 ; folio 359 Il est probable que les propriétaires précédents n’avaient pas droit à cet honneur alors que notre famille De Beschard... Guillaume De Beschard, écuyer sieur de Colboc, fut en effet anobli par le roi Louis XI en 1462 [4]. Il épousa Henriette de Bonneville dont il eut Martin de Beschard le vieux , grand père de notre Martin ci-dessus nommé.
Généalogie De Beschard 1. Guillaume x Henriette de Bonneville 11 . Martin (I) x Marguerite Pruneau 111. Robert , lieutenant du roi au Gouvernement de Honfleur x Jeanne Le Gendre 1111. Martin (II) x Jeanne Le Blond
Le 10 mai 1597 [5], la vavassorie est adjugée à Noble homme Charles de Beschard sieur de Collebosc capitaine entretenu sous la charge du Sr de Boniface capitaine et gouverneur pour le Roy Nostre Sire de la ville et château d’Arques, « à la charge que ladite vavassorie sera érigée en fief nommé le fief de St Romain de Collebosc avec la droiture de prééminence de tenir et mettre un banc à l’église dudit lieu de St Romain et autant de droits d’honneur qu’il en appartient à Madame le Duchesse de Longueville à son absence ». Rien que çà ! Mais il semble que Martin de Beschard avait obtenu illégalement ces droits honorifiques qui furent vite contestés et sujets à de nombreuses controverses judiciaires comme on va le voir un peu plus loin. Le 23 mai 1620 [6], la vavasorie est avouée par Marie Du Quesney veuve de Charles de Beschard et tutrice de ses enfants mineurs. Elle est toujours définie comme une vavassorie franche contenant 58 acres 1 vergée en 20 pièces dont « La première pièce est le manoir cour et jardin d’icelle vavassorie sur laquelle sont bâtis ladite maison manante, colombier à pied et autres édifices arbres et plantis dessus étants et croissants contenant 3a 1v 16p ... », cette pièce étant bornée d’un côté les héritières de Robert Yves et la grande mare ; d’autre côté la sente tendant de la rue Haquillon au manoir de Rébomare ; d’un bout la rue Haquillon et d’autre bout les héritiers de Jean Hantier. Ce bornage nous permet de localiser approximativement l’emplacement du manoir et de son colombier Les sieurs de Colbosc possédaient aussi des terres relevant d’autres seigneuries. Ainsi, le 20 juin 1620 [7], Gilles de Beschard, fils aîné et héritier de Charles, avoue aux religieux de St Georges de Boscherville 6 pièces de terre totalisant 5a 2v en bordure du chemin de Rébommare, et le 24 septembre 1648 [8], il avoue à la Seigneurie de Beaucamp 5 acres situées vers le val Budel. Cette parcelle sera vendue le 30 juillet 1684 [9] à Guillaume Hue qui l’avouera de nouveau à la seigneurie de Beaucamp le 9 juillet 1693 [10]. Les De Beschard portaient « de gueules, à la fasce d’argent, chargée de cinq chevrons brisés de sable, et accompagnée en chef au côté dextre d’une molette d’éperon d’or, et au côté senestre d’une coquille de même, et en pointe d’une autre molette aussi d’or ». Un blason qu'on serait tenté d'apposer sur les murs de la chapelle de l'église !... Mais le 26 juin 1660 [11], premiers ennuis pour Gilles de Beschard : les officiers du comté de Tancarville, « sur la requête à nous présentée par discrète personne Mre Jean Le Vasseur pbtre curé de la parroisse de Saint Romain et Pierre Fleurye eschevin de la confrairie du Saint nom de Jésus ... » constatent les peintures effectuées dans l’église sur ordre du Sieur de Colbosc et ordonnent « que les armes dudit sieur Beschard timbrées et apposées au hault de la contretable de la chappelle de la confrairie du St Nom deJésus ... seront présentement biffées par ledit Bertault peintre qui les a apposées » . Première humiliation. Précisons que Pierre Fleurye était aussi le propriétaire de l’ « hôtel du Nom de Jésus » ce qui peut expliquer l’origine du nom de cet établissement. Restons dans la famille : après le décès de Gilles survenu le 14 octobre 1680, la vavassorie est avouée le 22 juin 1686 [12] par Adrien de Beschard fils et héritier de Gilles. En 1683 [13], il était imposé sur le sel pour un patrimoine de 60 acres, 3 vaches, 3 chevaux et 60 moutons. Adrien de Beschard meurt le 19 novembre 1687 laissant le domaine à son fils aîné François de Beschard. Le 4 février 1717 [14], ce dernier vend à Charles Acher, marchand laboureur demeurant à St Romain, une pièce de 6 acres située entre le chemin de St Romain au Moulin rose et celui de St Romain à Rébommare. (voir parcelle A278 chapitre « B6. Ferme du Haumare »). François meurt le 27 mai 1732 et ne connaîtra donc pas la déchéance qui va s’abattre sur sa famille. Depuis 1570, les sieurs de Colbosc faisaient valoir des avantages honorifiques qui ne leur étaient pas légitimement attribués. Justice va être rendue en 1734 [15]: « Le procureur fiscal du comté de Tancarville ayant pris communication des titres en vertu desquels le sieur de Beschard prétend se qualifier du nom et seigneurie de Collebosc , l’érection de sa vavassorie en fief et les autres droits honoraires et nottamment celui de prendre séance et prendre un banc dans l’église de St Romain lesquels lui sont contestés... » Le 15 mars 1734 [16], suite à ce rapport, M. Perchel avocat déclare que « à l’égard de l’érection en fief noble... il n’y a que l’authorité royalle qui puisse ériger des fiefs en France... Si le propriétaire de ladite vavassorie n’a pas obtenu du roy de lettres d’érection, le simple consentement que le seigneur de Tancarville a donné en 1597 n’a pas fait changer la terre de nature » et « A l’égard de la cession du droit de prééminence de banc dans l’église de St Romain de Colbosc il est sans difficulté que cette cession est nulle, les honneurs de l’église sont incessibles ». C’en est fini d’un siècle et demi d’honneurs illlégitimes. Lorsque décède François de Beschard, il laisse trois fils dont Pierre Adrien (souvent appelé Adrien) issu de son premier mariage et deux fils mineurs enfants de Catherine Happedey... et des filles restant « quantité négligeable » dans la coutume de Normandie !
Généalogie partielle des De Beschard (suite) 1. Martin écuyer sieur de Colbosc , capitaine pour le roi en la marine, x Jeanne Leblond 11. Charles, escuier, Sr de Collebosc, capitaine entretenu sous la charge du Sr de Boniface x Marie Duquesnoy. 111. Gilles, escuier, Sr de Collebosc x Judic Le Masurier (° v 1605/1610 ; + SR 14.10.1680) ... 1113. Adrien , esc., Sr de Collebosc, b SR 17.04.1637 (p : Adrien de Canouville, esc, seigneur de Gromesnil et Beaucamp); + SR 19.09.1687 ; (+) église ; x Marie Françoise Crosnier 11131. Marie Hélène ° v1677 ; + SR 28.02.1701 ; x Grom. 12.08.1698 Pierre Persac ... 11134. François, esc, Sr de Colleboc, + St Romain 27.05.1732 ; (+) église ; x Marie Angélique Hauy ou Havy (+ SR 21.05.1708) ; xx Catherine Happedey; A111341. Pierre Adrien, écuyer sieur de Colboc b SR 17.05.1708; ; x 4.09.1736 Marguerite Suzanne d’Escaller A111342. François ° v 1713/14 ; + SR 29.06.1717 ; (+) église A111343. Marie Madeleine Catherine b SR 25.06.1709 ; y + 10.03.1710; (+) église A111344. Marie Françoise b SR 24.05.1710; A111345a. Guillaume b SR 10.05.1711 ; y + 16.08.1712 ; (+) église ; A111345b. Catherine Françoise b SR 10.05.1711 ; A111346. Louise Elisabeth b SR 10.07.1712; y + 31.07.1713; A111347. Marie Madeleine Marguerite b SR 15.08.1713 ; y + 6.09.1721. A111348. Louis François b SR 25.09.1714 ; A111349. Jacques Olivier Henry b SR 2.02.1716 ; curé A111349a. Marie Marguerite b SR 20.07.1718 ; y + 13.09.1721. A111349b. Claude François b SR 8.10.1719 ;
Adrien, en son nom et comme tuteur de ses deux frères mineurs, va gérer le bien de la famille. Le 27 juillet 1735 [17], alors qu’il demeure à Fécamp, il vend à Alexandre Dubosc une terre de 3a 3v 20p « ... qui seront bornées d’un côté ledit Sr Dubosc acquéreur à cause de l’acquisition qu’il aurait nouvellement faite de Charles Firelin, d’autre côté le résidu de ladite pièce appartenant audit sieur vendeur, d’un bout le chemin tendant de l’église de St Romain au hameau du Frescot et d’autre bout un autre chemin tendant dudit St Romain à Sainneville ». Il s’agit d’une terre au Frescot, portion de la parcelle A54 (voir « A5. Ferme des Lombards ») Le 11 juillet 1742 [18], les deux mineurs ayant maintenant atteint leur majorité, les trois frères vont procéder au partage de la succession de François leur père. L’acte de partage me manque (pour l’instant) pour préciser les portions attribuées à chacun. Notons toutefois : La masure sera dans les mains de Jacques Olivier Henry, prêtre curé de Mongaudry, qui avoue le 15 juillet 1747 [19] « une pièce de terre qui anciennement était édiffiée de Grande maison, Collombier à pied , de Grange et autres batiments le tout à présent détruit à l’exception d’un petit corps de logis qui subsiste entre la rue Haquillon et la mare , la pièce de terre maintenant en labour contenant 7 acres ou environ ... ». Grandeur et décadence ! C’en est fini des rêves de domination de la famille. Il est probable que la vavassorie ayant perdu son état de fief, le vassal perdait en même temps son droit de colombier. Dès le 17 novembre 1742 [20], Adrien, demeurant maintenant à Epreville, avait vendu à Jean Fleurye fils, marchand épicier, six pièces contenant en tout 14a 01v 17p , lequel acquéreur était tenu d’entretenir la jouissance de la veuve de Charles Acher et de Guillaume Bellenger, fermiers et locataires. Peu de renseignements concernant les fermiers de ce domaine. Il semble que la plus grande partie de ce clos Colbosc était exploitée par la famille Acher qui cultivait à la fois les terres des Beschard et celles dont elle était propriétaire comme soutenant de leur sieur de Colbosc : Charles Acher père, puis Charles Acher fils, puis Marie Anne Hue veuve Acher. Mais on trouve aussi Jean Dudout au moins de 1727 à 1739.
Généalogie Acher1. Guillaume x Adrienne.Vauchel11. Guillaume + av 1673 ; x (cm 12.11.1662) Marie Legrand (° v 1639 ; + SR 17.01.1719)111. Françoise b SR 5.04.1669 ; x (cm 20.06.1693) SR 4.08.1693 Jean. Deschamps 112. Charles b SR 2.11.1670 ; + SR 15.10.1728 ; 1nv le 23.11.1728 x SR 29.11.1698 Hyppolite Dudout 1121. Charles b SR 9.01.1699 ; y + 17.12.1737. x La Cerlangue 26.11.1726 Marie Anne Hue 11211. une Marie Anne Françoise ° v 1728; + SR 4.10.1731 11212. Charles Nicolas b SR 26.11.1730; y + 3.11.1732. 11213. Charles b SR 30.01.1734 ; y + 30.09.1743 11214. Jacques Philippe *, lab, b SR 20.09.1736; + SR 2.12.1825; x Grom. 6.10.1767 Susanne Françoise Belloncle (+ SR 18.04.1768) ; xx SM 21.09.1773 Marie Hélène. Lebrument * Jacques Philippe était le propriétaire de la ferme voisine (voir «A4. Ferme Acher-Talbot») et l'exploitant de la ferme de l'hospice à St Michel (voir «M1. Ferme Beauvais»)
Le 3 avril 1745, Jacques Olivier Henry de Beschard vend 2 acres de terre à Louis Anquetil, le 27 novembre 1759 [21] deux autres acres à Jean Leberquier, et le 20 octobre 1776 [22] trois acres et demie en masure et terre de labour avec les mares de Colbosc à François Hanin mécanicien privilégié et pensionné du Roy (notre célèbre inventeur de la romaine à cadran). Et en octobre 1775 [23], Adrien de Beschard avait vendu à François Hanin la partie occidentale du clos Colbosc. Ce dernier fera traverser son terrain par une nouvelle route (rue royale, maintenant rue de la république) et commencera à fieffer de nombreuses parcelles sur lesquelles se construiront toutes les maisons que nous connaissons aujourd’hui des deux côtés de la rue de la république. Le grand domaine des Beschard est maintenant émiétté. Notons que la commune de St Romain, le 12 juillet 1823 [24], achètera à François Hanin fils un terrain de 12 ares avec les mares dont la commune avait grand besoin .
Quartier des mares de Colbosc ; début du 19ème siècle (Archives municipales de St Romain) 1 : l’église (avant sa reconstruction en 1842 !) 2 : « rue du buisson » maintenant rue de l’acqueduc 3 : « rue traversière » maintenant rue du Dr Caisselet 4 et 5 : « rue des pavillons » et « voie des fieffataires » maintenant rue de la mare de Colbosc 6 et 8 : « chemin de Gommerville » maintenant rue du bassin (6) et chemin supprimé lors de la construction de la rue Robert Dubuc vers 1880 (8) 7 : chemin aliéné vers 1880 9 : « ruel Aquilon » maintenant ruelle aquilon ... une qui n’a pas changé de nom !!! 10 : « chemin de la corderie » paintenant rue Robert Dubuc. Hanin avait vendu en 1783 un terrain à Jean Boulon, maître cordier. 11 : « route départementale » ou « rue royale » maintenant rue de la République
Quant aux parcelles vendues en 1745 et 1759, elles formeront ce que j’ai appelé la « ferme Sampic » Voir maintenant « A0a. Ferme Sampic » [1] ADSM ; 1 ER 212 Liasse B69 cote 1 [2] ADSM ; 1 ER 129 folio 356 [3] ADSM; 1 ER 212 Liasse B69 cote 2 et 1 ER 129 folio 359 [4] Dictionnaire de la noblesse par François Alexandre Aubert de la Chesnaye des Bois ; 1771 [5] ADSM ; 1 ER 212 Liasse B69 cote 5 et 1 ER 129 folio 363 [6] ADSM ; 1 ER 212 Liasse B69 cote 7 et 1 ER 129 folio 376 [7] ADSM ; 1 ER 129 folio 478 [8] ADSM; 1 ER 397 [9] ADSM ; 2E 91/201 ; notariat Lecomte et Dévarieux [10] ADSM ; 1 ER 397 [11] ADSM ; 1 ER 359 [12] ADSM ; 1 ER 212 Liasse B69 cote 8 [13] ADSM ; 221 BP 173 [14] ADSM ; 2E 91/134 ; notariat Preudhomme [15] ADSM ; 1 ER 129 ; folio 372 [16] ADSM ; 1 ER 129 ; folio 373 [17] ADSM ; 2E 91/153 ; notariat Preudhomme [18] Je n’ai pas encore trouvé cet acte qui est mentionné dans un acte du 17.11.1742 (2E 91/160) [19] ADSM ; 1 ER 212 Liasse B69 cote 11 [20] ADSM ; 2E 91/160 ; notariat Preudhomme [21] ADSM ; 2E 91/174 ; notariat Thomas Beaufils [22] ADSM ; 2E 49/361 ; notariat J. François Noël à Fécamp [23] notariat à Fécamp ; je n’ai pas encore trouvé l’acte [24] ADSM ; 2E 90/3 ; notariat Avenel |